AG 2022 de l'ASMA

L’assemblée générale du cinquantenaire de l’ASMA se tiendra le dimanche 3 juillet 2022, au Centre Culturel de Bouxwiller (Pays de Hanau), 5 place du Château, à 10 heures. La salle ouvrira ses portes à partir de 9h15.

Projet de PLUi de la Communauté d’Agglomération de Haguenau et protection du patrimoine bâti

La Communauté d’Agglomération de Haguenau (CAH) a été créée le 1er janvier 2017 ; elle est issue du regroupement de quatre Communautés de Communes – Haguenau, Bischwiller, Val de Moder et Brumath – et rassemble 36 communes.

Le projet de PLUi est lancé depuis 2020, l’objectif étant de l’arrêter pour fin 2024 ; la CAH a mandaté l’ADEUS (Agence de Développement et d’Urbanisme de l’Agglomération de Strasbourg) pour l’accompagner dans l’élaboration de ce futur document d’urbanisme.

L’ASMA, qui a collaboré étroitement et avec succès avec la Communauté de Communes du Kochersberg pour intégrer dans son nouveau PLUi la protection du patrimoine bâti, a rencontré le 10 mai dernier Monsieur Jean-Lucien Netzer, maire de Bischwiller, mais aussi premier vice-président de la CAH en charge, entre autres, de l’urbanisme, pour évoquer avec lui les enjeux de la protection du patrimoine bâti.

L’ASMA était représentée par son vice-président, Denis Elbel, et accompagnée par Jean-Baptiste Malingre, le vice-président de l’association des Amis du Patrimoine Brumathois.

La réunion a été très positive, puisque Monsieur Netzer nous a assuré que l’option Patrimoine, qui n’est pas juridiquement obligatoire, est bien envisagée par les élus de la CAH courant 2022, et que la protection du patrimoine bâti sera assurée dans toutes les communes de la CAH, en s’inspirant de l’expérience réussie du Kochersberg. À noter que le PLUi de la Communauté des Communes de Bischwiller prévoyait déjà un volet patrimonial incluant la protection des maisons remarquables.

Monsieur Malingre a remis, à titre d’exemple, à Monsieur Netzer, le repérage du patrimoine bâti de Brumath réalisé en 2021 par son association brumathoise.

Le repérage sera réalisé dans chaque commune si le volet patrimonial est retenu, sachant que l’ASMA se tient à la disposition de la CAH et de Monsieur Netzer pour partager son expérience réussie dans ce domaine.

La protection du patrimoine bâti sera donc bien prise en compte dans le futur PLUi de la CAH.

Une lueur d’espoir à Hochfelden !

Nous avons déjà évoqué ce dossier particulièrement sensible à plusieurs reprises dans notre Blättele.

Rappel : La commune de Hochfelden avait acquis il y a quelques années le petit corps de ferme situé 6, place de la Libération, proche du centre ancien, avec comme objectif de le raser pour y réaliser un parking d’une vingtaine de places. Le permis de démolir n’a été affiché qu’au printemps 2021.

Une première visite le 25 mars 2021 de Denis Elbel, Claude Eichwald et Cédric Brenner avait permis de constater que la petite maison à colombages était loin d’être en ruines.

L’ASMA a alors accepté que les dépendances, très dénaturées, soient démolies, mais a conseillé au maire de sauvegarder la maison. Le maire, Monsieur Georges Pfister, ayant répondu qu’il n’avait aucun budget pour la réhabiliter, l’ASMA lui a conseillé de la mettre en vente, ce que le maire avait jugé impensable, vu l’état trop dégradé, selon lui.

L’ASMA a alors cherché, et trouvé un jeune couple prêt à l’acheter pour 50000 €, avec le projet de la restaurer, et l’a présenté au maire au mois de septembre dernier. Le bureau d’études en charge du projet a ensuite redessiné le parking, sur une emprise foncière légèrement réduite, en tenant compte du maintien en place de la maison.

Le maire s’est engagé à présenter cette solution variante au conseil municipal.

Hélas, le 29 octobre dernier, il nous a informés par courrier que le projet initial ne serait pas remis en cause et que la maison serait bel et bien démolie !

À la suite de cette fâcheuse décision, l’ASMA a enregistré depuis le mois de novembre de très nombreux soutiens, depuis que le maire nous a annoncé que la petite maison ne serait pas épargnée.

Le président de la CeA, Frédéric Bierry avait envoyé une seconde lettre au maire en date du 29 novembre 2021 pour lui demander de prendre en compte la proposition de l’ASMA qui ne remet aucunement en cause le projet de stationnement.

France 3 Alsace avait envoyé le 30 décembre 2021 une équipe sur place pour réaliser un reportage qui a été diffusé à plusieurs reprises dans les actus régionales, mais aussi sur le 12/13 national.

Stéphane Bern a lui aussi réagi en écrivant au maire et à l’ensemble du conseil municipal le 17 décembre 2021 pour plaider la cause de cette maison ancienne.

Le président du Conseil culturel d’Alsace (CCA), Christian Hahn, a également adressé une lettre ouverte au maire de Hochfelden, fin janvier 2022, afin de lui demander d’opter pour la solution de compromis proposée par l’ASMA, et l’historien Georges Bischoff a lui aussi plaidé dans le même sens !

Coup de théâtre : suite à une visite du sous-préfet qui, accompagné de l’ABF, a lui aussi plaidé pour la sauvegarde de cette maison à colombages, seules les dépendances ont été démolies.

Résultat : à ce jour la maison est toujours en place, et nous espérons vivement qu’elle le reste définitivement !

Maison menacée à Hochfelden

© DE

Maison menacée à Hochfelden

© DE

Une thèse sur les maisons remarquables de l’Alsace du Nord (1500 à 1700) avec le soutien de l'ASMA

Maison remarquable en Alsace du nord

Langensoultzbach © DE

Laura Suss, étudiante en archéologie à Strasbourg, spécialisée dans le bâti ancien du Moyen Âge et de la Renaissance, avait sollicité l’ASMA en décembre 2020. L’objet de son courrier était de nous faire part de son projet de doctorat, de nous en présenter les problématiques, et surtout d’espérer pouvoir établir un partenariat avec l’ASMA, qui ne manquerait pas d’être bénéfique à sa recherche.

Une première prise de contact avec le vice-président de l’ASMA, Denis Elbel, avait eu lieu à Gougenheim, au mois de novembre 2019, lors de la réalisation du repérage du patrimoine bâti à préserver dans le cadre du nouveau PLUi de la Communauté de Communes du Kochersberg.

Jean-Jacques Schwien, qui a dirigé son Master à l’Université de Strasbourg, avait ensuite recontacté Denis Elbel, en décembre 2021, pour l’informer du projet de thèse de Laura Suss, l’ASMA pouvant ainsi soutenir concrètement ce projet d’études des maisons remarquables des 16e et 17e siècles dans le Pays de Hanau et ses environs.

Laura Suss nous a envoyé dans la foulée, une première liste de 180 maisons, objet de son étude, et tout récemment, la liste des 20 maisons les plus remarquables pour lesquelles l’étude comprendra, moyennant l’accord des propriétaires, des carottages permettant une analyse dendrochronologique destinée à déterminer avec une très grande précision la date d’abattage des arbres. Ce qui permet d’en déduire la date de construction de la maison, puisque les charpentiers utilisaient toujours du bois vert, beaucoup plus facile à tailler avec leurs outils manuels.

Parmi ces 20 maisons, 3 appartiennent à des adhérents de l’ASMA et sont situées à Neuwiller-les-Saverne, Obermodern et Langensoultzbach. Tous ont accepté avec enthousiasme d’ouvrir leur porte à Laura, qui, au travers de son étude, pourra sans aucun doute faire avancer la connaissance de l’histoire de leur maison ancienne. 

L'archéologue Laura Suss nous présente sa thèse en cours sur les maisons remarquables du Pays de Hanau et de ses environs
Depuis près de 50 ans, des études archéologiques sont menées sur les maisons alsaciennes et enrichissent leur connaissance. Mais il faut constater que l’Alsace du nord est laissée pour compte dans ces recherches, alors qu’elle a beaucoup à offrir. Dans le cadre de ma thèse de doctorat, j’ai donc voulu lancer une étude des maisons et granges des 16e et 17e siècles du Pays de Hanau et des environs. En étudiant ces bâtiments, les résultats à attendre sont nombreux et visent à mieux connaître ce secteur trop oublié.

Je me permets tout d’abord une petite présentation : née en Alsace dans un village du Kochersberg, j’ai toujours été très intéressée par l’histoire et le patrimoine de la région. Dans le cadre de mes études, je me suis tournée vers un parcours d’archéologie, avec une spécialisation dans l’étude de l’habitat médiéval et moderne.

J’ai réalisé mon parcours universitaire à Strasbourg et ai pu rapidement orienter mes recherches sur les maisons à pan-de-bois/colombage, en étudiant le bel ensemble du musée Westercamp à Wissembourg. Cela m’a encouragé à poursuivre mes recherches sur ces structures par un travail de thèse.

Ma thèse de doctorat porte sur les techniques de constructions des maisons du Pays de Hanau et des environs, édifiées entre 1500 et 1700 : secteur au très grand potentiel mais jusqu’à présent trop ignoré aux dépens des villes et villages viticoles. Le but de ma recherche est d’analyser les méthodes mises en œuvre dans les constructions (type d’assemblage des bois, type de matériaux utilisés, éléments de décoration particuliers, etc.) afin de mettre en évidence les similitudes et les différences entre les maisons. Le but final est d’essayer de comprendre la logique des constructeurs des 16e et 17e siècles, quant au choix des matériaux utilisés (bois ou pierre) et de leur agencement, pour voir si cela se justifie par une simple question d’évolution du style architectural ou plutôt par l’adaptation à l’environnement et à la disponibilité des matières premières.

Ma recherche est notamment suivie par Marc Grodwohl, fondateur de l’Écomusée d’Alsace, et largement inspirée de ses travaux réalisés dans le Sundgau. Les résultats obtenus par ce chercheur grâce à des approches similaires aux miennes et avec le concours des habitants locaux (le village de Lutter par exemple a fait récemment l’objet de deux belles publications), laissent espérer des résultats tout aussi prometteurs et passionnants pour le Bas-Rhin.

Pour mener à bien ces différents axes de recherche, la méthode consiste à observer avec le plus de détails possible les caractères des constructions comme la disposition des pans-de-bois, des charpentes, les murs maçonnés dans les caves, par exemple ; en somme, tous les éléments anciens qui apportent des renseignements. Il sera aussi très intéressant de pouvoir procéder à des analyses dendrochronologiques, à savoir un procédé d’étude qui consiste à prélever de petits échantillons de bois de quelques millimètres de diamètre dans les poutres. Ils sont ensuite analysés et permettent de connaître l’essence et la date d’abattage de l’arbre de façon précise (à l’année et parfois à la saison près) et donc celle de la construction de la maison, souvent plus ancienne que prévu. En plus de ce critère chronologique, l’étude des échantillons permet aussi de restituer le type de forêt dont ils proviennent – naturelle ou gérée par l’Homme –, et ensuite de déduire les processus de gestion de ces milieux aux 16e et 17e siècles. Dans cet objectif, j’ai pu obtenir un financement, destiné à dater un ensemble de bâtiments, pour lesquels les frais sont intégralement pris en charge par un organisme de recherche.

Après inventaire, j’ai pu répertorier un total de plus de 180 maisons construites entre 1500 et 1700 dans le Pays de Hanau et ses environs. Parmi celles-ci, 20 ont été retenues pour leur intérêt plus exceptionnel, à la fois par leur état de conservation et par leur aspect, pour faire l’objet des analyses évoquées précédemment. Pour celles-ci, comme pour les autres bâtiments du corpus, il est certain que la quantité d’information observée sera proportionnelle à la pertinence des résultats obtenus. C’est pourquoi, j’espère qu’il sera possible d’échanger, aussi souvent que possible, avec les propriétaires des maisons, connaisseurs directs des bâtiments. L’existence de documents, comme des photos anciennes ou faites lors de travaux, ou même des renseignements oraux, ne manqueraient pas d’enrichir la recherche. Et plus encore, la possibilité de pouvoir accéder à certaines parties des bâtiments, pour y faire quelques observations et photographies, voire y réaliser les analyses des bois, sera un des points décisifs à la bonne tenue de cette étude et au renouvellement des connaissances sur les constructions du Pays de Hanau et de ses abords.

Laura Suss, archéologue des périodes médiévale et moderne

NDLR : Laura Suss présentera son étude lors de la journée « Regards sur Bouxwiller », le samedi 18 juin 2022. Voir programme ci-dessous.

Regards sur Bouxwiller, conférences et visites le 18 juin

Retour en images sur le stage ASMA "Enduits à la chaux", Entzheim, avril 2022, avec Antoine Nussbaumer

Avis de recherche : aidez-nous à localiser cette maison !

Avis de recherche maison alsacienne

Signature en bas à gauche : « M Madruga » © DR

À la demande de l’un de nos adhérents de longue date pour des amis brésiliens, comment cette maison alsacienne s’est-elle retrouvée représentée sur un tableau de l’artiste peintre brésilien Manuel Madruga ? (1)

Voici les éléments que nous avons pu rassembler. Mais où était-elle située et existe-t-elle encore ?

Manuel Madruga naît à Teresópolis, Rio de Janeiro, le 20 septembre 1872, et étudie la peinture à l’Académie impériale des Beaux-Arts. En 1894, il arrive à Paris et y poursuit ses études à l’École des Beaux-Arts. Il reste en France jusqu’en 1940, année de son retour à Rio de Janeiro où il décède à l’âge de 78 ans le 16 juin 1951.

Sophie Nathié naît à Illkirch-Graffenstaden le 21 juillet 1895, fille de Jean Nathié (1868-après 1939), « ouvrier à l’usine », et de Sophie Gasser (1865-avant 1939), mariés à Eschau d’où l’épouse est originaire, le 21 juillet 1893. Les parents de Jean Nathié étaient agriculteurs à Voellerdingen (Alsace Bossue) où ils eurent une dizaine d’enfants.

Où Sophie Nathié et Manuel Madruga se sont-ils rencontrés ? Possiblement en Alsace. Quoi qu’il en soit, le 17 janvier 1922 à Strasbourg, Sophie Nathié met au monde un garçon prénommé Jean Louis (deux prénoms). À cette époque, elle est vendeuse et domiciliée dans cette ville, 15 quai Kellermann. La sage-femme fait la déclaration ; le nom du père n’est pas indiqué. À sa naissance, Jean Louis porte donc le nom de famille de sa mère, Nathié. Il sera simultanément reconnu par sa mère à Strasbourg le 20 août 1936 et par son père biologique Manuel Madruga à Bois-Colombes (actuel Hauts-de-Seine) où il réside le 25 août 1936. Cette reconnaissance par sa mère laisse possiblement supposer qu’elle ne l’a pas élevé. Cette même année, Manuel Madruga est fait Chevalier de la Légion d’Honneur !

Manuel Madruga, 67 ans, artiste-peintre, et Sophie Nathié, 44 ans, employé de bureau, se marient à Bois-Colombes le 7 novembre 1939. De par ce mariage, leur fils Jean Louis se trouve légitimé ; troisième mention sur son acte de naissance.

Le couple quitte définitivement la France sans leur fils en 1940 pour s’installer au Brésil.

De ces événements, l’on peut déduire quelques possibles pistes alsaciennes pour tenter de localiser cette maison du 17e siècle : Voellerdingen, Illkirch, Eschau, Strasbourg ?

Ce type de bâtiment, sa taille et les autres constructions autour indiquent tout de même que nous sommes dans un centre ancien en zone urbaine, où le petit cours d’eau que l’on imagine alimenter moulins et tanneries, était aussi utilisé comme lavoir.

Il existe d’ailleurs une seconde version de ce tableau, huile sur toile de 51 par 68 cm qui aurait été peinte en 1938, où deux lavandières sont représentées à l’ouvrage.

On ne peut non plus exclure qu’il s’agisse d’une représentation idéalisée d’une scène de genre sortie de l’imaginaire d’un artiste peintre, mais cela est assez improbable.

Épilogue

Une autre interrogation : comment et où Jean Louis Madruga a-t-il traversé la période de la seconde guerre mondiale ? Il avait 23 ans en 1945 ! Autre mystère.

Il obtient un passeport émis par la Préfecture de police de Paris le 20 mars 1946, ainsi qu’un visa d’entrée au Brésil délivré par son Consulat général, à Paris, le 2 avril 1946. Il y est décrit comme célibataire et bibliothécaire. Voyage sans retour ; muni de ce sésame, il embarque à l’Île-de-Groix et arrive à Rio le 31 mai.

Sa mère, Sophie Nathié, décède à Rio le 22 mars 1970. Son fils, toujours de nationalité française et célibataire est domicilié à la même adresse que celle indiquée lors de son entrée au Brésil 24 ans plus tôt, celle de ses parents, fait la déclaration de décès. Il décède à son tour dans les années 1990.

Dernières trouvailles sur cette famille lors de nos recherches généalogiques. Sophie Nathié avait une sœur et deux frères : Jeanne Marie (née en 1903, mariée à Hoenheim en 1928 et décédée à Souffelweyersheim en 1967), Louis Jean (né en 1894, décédé à Villejuif en 1955) et Léo (né à Illkirch en 1899, marié à Soissons en 1920 et décédé à Crouy dans l’Aisne en 1963). Une rue de Crouy, a été rebaptisée « rue Léo Nathié » en mémoire de ce résistant durant la seconde guerre mondiale.

Un grand merci à nos lecteurs de nous faire part de la localisation certaine ou possible de cette maison par courriel à contact@asma.fr

(1) Prénom Manoel en brésilien. Après son décès, une rétrospective lui a été consacrée à Rio.

Remerciements pour son aide sur l’orientation de nos recherches au Cabinet de généalogie successorale Coutot-Roehrig de Strasbourg.

Nous soutenir

L’ASMA n’est composée que de bénévoles et ne reçoit pas de subventions.

Les carences de l’État en matière de protection et de valorisation de notre patrimoine sont importantes et pourtant, le bâti ancien est un élément fondamental pour relever les défis de notre temps.

Alors, pour nous permettre de continuer à vous offrir chaque jour une expertise bénévole et à défendre notre patrimoine commun, nous avons besoin de vous !

N’oubliez pas… l’adhésion et le don à l’ASMA sont déductibles fiscalement à hauteur de 66%.

Pour soutenir notre action, cliquer ici

Activités de l'ASMA en images

Vous souhaitez réagir, contribuer, signaler ?
Contactez-nous !

ASMA
BP 90032
67270 HOCHFELDEN
contact@asma.fr
07 86 20 53 88

Asma's Blättele mars-avril 2021 - Contributeurs & appel à cotisation

‘s Blättele mai-juin 2022 – Contributeurs

Denis Elbel, Jean-Paul Mayeux, Maryline Simler et Laura Suss.

Directeur de publication : Bernard Duhem.

‘s Blättele – Appel à contribution

Vous êtes adhérents à l’ASMA et vous souhaitez nous aider mais vous ne savez pas comment ? Vous avez quelque chose à raconter en rapport avec la sauvegarde de la maison alsacienne (l’histoire de votre maison, des photos de votre chantier, une découverte insolite dans votre village) ? Contribuez au Blättele ! Envoyez-nous votre article à contact@asma.fr et nous le publierons dans cette section.

Merci !

Ils nous soutiennent
ADF Services diagnostique et traite les problèmes d’humidité de l’habitat, sinistre, humidité des murs, humidité de l’air, humidité des caves, moisissures, etc. Nous adaptons nos multiples techniques de traitement à la typologie du bâtiment et aux besoins de son occupant. Nous sommes formés à l’écorénovation et respectons les besoins spécifiques du patrimoine bâti ancien.

www.adfservices.fr
Pub ADF
Pub
Pub


La Menuiserie Pierre SEENE SAS est spécialisée en rénovations à l’ancienne, faites- nous part de vos projets.

www.menuiserieseene.com
Publicité Seene
Publicité Seene
Publicité Senné

Fenêtre à l’ancienne, chêne, option crémone applique.


« Les murs de nos maisons sont comme la chair de nos corps, ils ont besoin d’être protégés par un épiderme, d’être beaux et de pouvoir respirer comme notre peau. »

Ets BISCEGLIA & Cie, Enduits à la chaux

11, rue de Brest
67100 STRASBOURG
Tél. : 03 88 39 71 10 / Fax : 03 88 39 18 88
info@bisceglia.fr
www.bisceglia.fr
Publicité Ets BISCEGLIA & Cie
Publicité Ets BISCEGLIA & Cie


Eco Sphère Habitat – Projection de béton de chanvre, réalisation d’enduits à la chaux

www.ecosphere-habitat.com
Publicité Eco Sphère Habitat


Décap’Eco67 est une entreprise familiale spécialisée dans le décapage par Aérogommage et Hydrogommage, technique de gommage basse pression, économique et écologique, beaucoup plus douce que le sablage, qui permet d’intervenir sur notre patrimoine bâti et culturel, mobilier ou immobilier, comme nos maisons alsaciennes (colombages extérieurs et intérieurs, escaliers en grès, sous-bassements…).

www.decapeco67.com

marion.lacroix67@gmail.com

06 79 44 14 27
Décap’Eco67

Recevez notre bulletin d'information bimestriel

Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir nos dernières nouvelles directement dans votre boite mail.

Adresse e-mail non valide