Prochain Stammtisch du Bas-Rhin
Le prochain Stammtisch bas-rhinois aura lieu à Strasbourg, le jeudi 23 novembre 2023, au restaurant « Au Cerf d’Or », 6 place de l’Hôpital, à partir de 18h30.
Nombre de places limité à 30 participants. Inscription ici jusqu’au lundi 20 novembre.
Les Stammtisch permettent à toute personne, qu’elle soit membre ou non de l’ASMA, de rencontrer des spécialistes du bâti ancien. Afin de conseiller au mieux les participants, nous recommandons d’apporter des photos sur clé USB.
Le Tribunal administratif annule le permis de démolir illégal de 2021 à Spechbach-le-Bas !
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Maison de Spechbach-le-Bas démolie illégalement en juillet 2021 ! © RC |
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Une grande première pour l’ASMA : le Tribunal administratif nous a suivis en annulant un permis de démolir illégal, alors que la maison, protégée au PLUi, a été démolie depuis plus de deux ans ! En effet, conformément aux conclusions du rapporteur public, le Tribunal administratif de Strasbourg a prononcé le 19 octobre 2023 l’annulation d’un permis de démolir que s’était délivré en juillet 2021 la commune de Spechbach-le-Bas.
Rappel des faits : le maire de Spechbach-le-Bas avait signé, il y a plus de deux ans, le vendredi 16 juillet 2021, le permis de démolir d’une superbe maison à colombages, qui datait du 16e siècle, remaniée au début du 18e siècle, située dans le centre ancien du village, juste à côté de l’église. La maison était protégée au PLUi de la communauté de communes du secteur d’Illfurth : première illégalité flagrante ! Mais le maire n’a pas hésité à rajouter une seconde irrégularité, puisqu’il a fait démolir ce bâtiment remarquable et protégé, dès le lundi matin du 19 juillet, soit 3 jours seulement après l’affichage du permis, alors qu’un permis de démolir ne devient exécutoire que 15 jours après sa notification au demandeur, conformément aux dispositions des articles L 424-9 et R 452-1 du Code de l’urbanisme.
Extraits du jugement du TA du 19 octobre 2023 : « Sur les conclusions à fin d’annulation : En premier lieu, l’article 1.18 du chapitre 1 UA du règlement du plan local d’urbanisme de la communauté de communes du secteur d’Illfurth relatif aux occupations et utilisations du sol interdit, notamment, « la démolition des éléments architecturaux identifiés sur les plans de zonage au titre de l’article L.123-1.5 du code de l’urbanisme ». En l’espèce, il est constant que la maison concernée par le permis de démolir litigieux était identifiée comme « élément architectural » par le plan de zonage du plan local d’urbanisme de la communauté de communes du secteur d’Illfurth, et protégée à ce titre. Il s’ensuit que la commune de Spechbach ne pouvait légalement autoriser la démolition de l’édifice en cause sans méconnaître les dispositions de l’article 1 UA de ce règlement d’urbanisme. » La commune de Spechbach a fait valoir en défense, que l’état de la maison située 127 rue de Thann était tel que la démolition, seul moyen de mettre fin à sa ruine, ne pouvait être refusée, en application des dispositions de l’article L. 451-2 du code de l’urbanisme. Réponse du TA : « L’état de ruine de la maison au sens de cet article du code de l’urbanisme n’est pas établi. »
Décision du Tribunal : Article 1 : L’arrêté du 16 juillet 2021 du maire de la commune de Spechbach est annulé. Article 2 : La commune de Spechbach versera une somme de 2 000 euros à l’association pour la sauvegarde de la maison alsacienne au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative. Article 3 : Les conclusions de la commune de Spechbach au titre de l’article L.761-1 du code de justice administrative sont rejetées. Article 4 : Le présent jugement sera notifié à l’association pour la sauvegarde de la maison alsacienne et à la commune de Spechbach. Copie en sera adressée au préfet du Haut-Rhin et, en application des dispositions de l’article R. 751-10 du code de justice administrative, au procureur de la République près le tribunal judiciaire de Colmar.
L’ASMA ne va pas en rester là. Nous avons mandaté notre avocat pour qu’il saisisse le Procureur de la République suite à l’illégalité de la démolition pratiquée, alors que la commune de Spechbach n’avait pas de permis de démolir exécutoire. Le Procureur de la République pourra alors engager des poursuites pénales à l’encontre de la commune ou de son maire.
Le 9 août 2021, nous avions diffusé un communiqué de presse suite à la démolition. Il a été publié dans le Blättele de juillet-août 2021 que vous pouvez consulter en cliquant sur ce lien. |
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Après la démolition. © RC |
Restauration de maisons alsaciennes et interview du président de l'ASMA dans le 19/20 de France 3 Alsace du 23 octobre 2023
Façade avant de la maison avant travaux. © CW |
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Façade arrière en travaux. © CW |
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Rez-de-chaussée arrière en travaux. © CW |
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Façade arrière en janvier 2021. © CW |
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Façade avant en janvier 2021. © CW |
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Façade avant en octobre 2023. © CW |
« Maison à colombages, un chantier hors du temps », un reportage du journal de 13h de TF1 du 2 octobre 2023
« Maisons de nos régions : la maison alsacienne », un reportage du journal de 13h de France 2 du 18 septembre 2023
Le 18 septembre dernier, France 2 a diffusé un reportage consacré à la sauvegarde de la maison alsacienne. Celui-ci commence à Schnersheim, dans la maison restaurée par le vice-président de l’ASMA, Denis Elbel. Il se poursuit à l’Écomusée d’Ungersheim et se termine à Valff, sur le chantier de restauration de Marilyne Guidetti et Christophe Friess, membres de l’ASMA, qui ont racheté les colombages d’une maison de 1728, qui a été démontée à Leutenheim en 2001 par Cédric Brenner, et remontée en 2023 par Brenner Tradition. |
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Conférence de l'ASMA « La maison alsacienne : un patrimoine à sauvegarder et à (re)découvrir », Obernai, 16 novembre 2023
‘Assemblée générale de l’association Art et Patrimoine d’Obernai, qui se tiendra le jeudi 16 novembre 2023 à 19h30 dans la salle Renaissance de l’Hôtel de Ville d’Obernai, sera suivie à 20h15 d’une conférence ouverte au public, présentée par le vice-président de l’ASMA, Denis Elbel. Il évoquera les opérations de sauvetage engagées par l’association, sa mission de conseil ainsi que les perspectives d’avenir. |
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Formation professionnelle « Éco-rénovation du bâti ancien » 2024
Les Parcs naturels régionaux des Vosges du Nord et des Ballons des Vosges en partenariat avec l’INSA Strasbourg, la DREAL Grand-est et le centre de ressources Envirobat Grand Est – energivie.pro proposent une formation modulaire pour développer ses compétences et apprendre à améliorer la performance énergétique du patrimoine bâti tout en préservant ses caractéristiques architecturales.
Démarrage de la formation le 21 mars 2024.
Inscriptions ouvertes jusqu’au 15 mars 2024.
Une « Opérette à la ferme » à Schnersheim !
Le samedi 23 septembre, était organisée par Aurélie Becuwe, flûtiste piccolo à l’Orchestre Philarmonique de Strasbourg, et l’association locale La Schliff, une soirée-spectacle intitulée « Opérette à la ferme », dans la cour de la ferme ‘s Jungrote à Schnersheim. |
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Aurélie Becuwe présente ainsi son projet : « L’idée est de proposer des représentations musicales dans des corps de ferme du Kochersberg, afin d’amener la musique à tous, dans des zones géographiques où la culture musicale se développe évidemment moins qu’à Strasbourg. |
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© JMB |
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Nos artistes proposent des opérettes d’Offenbach, en toute simplicité, en effectif réduit, entre 7 et 10 artistes, pour apporter joie et convivialité. C’est une belle occasion de faire découvrir, ou redécouvrir au public, les chefs-d’œuvre d’un répertoire populaire, mais exigeant. Pour cette occasion, la mise en place de partenariats avec les associations locales, les artisans, les viticulteurs ou les commerçants du village est essentielle. C’est une magnifique opportunité de pouvoir mélanger les arts, pour promouvoir les talents musicaux, mais aussi de faire découvrir les richesses locales qui sont si chères aux Alsaciens. Le « coup d’essai » réussi à la Ferme Waserman à Quatzenheim, en juillet 2022, nous a donné envie de développer le concept dans d’autres fermes. Le samedi 23 septembre à Schnersheim, nous avons proposé un programme estival avec, pour commencer, une ouverture instrumentale, suivie de « Lischen et Fritzchen », une opérette créée en 1863 par Jacques Offenbach. » |
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Plus de 200 personnes se sont retrouvées le samedi à 17h, dans la cour de ce grand corps de ferme du Kochersberg. Le spectacle a été très apprécié et s’est conclu par une « standing ovation ». |
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En seconde partie de la soirée, l’association locale La Schliff a proposé ses « Flàmmekuache », très appréciés également, que l’assistance a pu savourer dans la cave historique et dans la grange. Et côté boissons, les vins blancs proposés par le viticulteur de Marlenheim, Xavier Muller, et la bière Meteor, ont connu également un grand succès. Tout cela fut rendu possible grâce à la mise à disposition des sièges assurée par la CoCoKo, la communauté de communes du Kochersberg et de l’Ackerland, ainsi qu’à une contribution très appréciée du Crédit Agricole. Tous les spectateurs, sans exception, ayant émis le souhait de pérenniser cette manifestation, la prochaine date est d’ores et déjà fixée au samedi 7 septembre 2024. |
Grussenheim : Stammtisch et rencontre avec l'association Les amis d’Annette de Rathsamhausen, baronne de Gérando, et du vieux Grussenheim
Samedi 7 octobre 2023, l’association Les Amis d’Annette de Rathsamhausen, représentée par Monsieur Christophe Haberkorn son président, et Monsieur Jean-Philippe Strauel son vice-président, a accueilli le Stammtisch de l’ASMA, dans la salle communale de Grussenheim. Une vingtaine de participants, de Oltingue (68) à Kirrwiller (67), sont venus prendre conseils auprès de Christian Fuchs, Denis Valette, Stéphanie Bringia, Gigi Danilovic et François Wurth, intervenants de l’ASMA, en présentant leur maison et problématiques sur photos projetées sur écran. À la suite de ce Stammtisch, Monsieur Strauel nous a conviés à le suivre à travers le village jusqu’au micro musée de Grussenheim, où Monsieur Haberkorn nous attendait pour un verre de l’amitié. Cette promenade fut l’occasion en chemin de nous faire découvrir l’histoire du village et de ses maisons.
L’association et la Maison de Rathsamhausen L’association Les amis d’Annette de Rathsamhausen, baronne de Gérando, et du vieux Grussenheim a été créée en 1998 afin de tenter de sauver la maison de Rathsamhausen, maison natale d’Annette de Rathsamhausen. Cette maison se situait dans la Obergrasse, aujourd’hui rue de la Paix de Grussenheim. Elle a été démolie en février 1999 pour laisser place à l’actuelle salle communale. En 1998, alors que la municipalité projetait la construction de ce bâtiment, Monsieur Strauel, conseiller municipal, opta pour un projet incluant la sauvegarde de la maison de Rathsamhausen, solution qui n’avait pas été envisagée, et fut alors chargé de son étude. C’est en collaboration avec un architecte de Colmar, Michel Spitz, que le projet put être présenté à la municipalité. Ce dernier ne fut toutefois pas retenu, bien qu’il proposait de conserver et respecter les volumes existants. Il se voulait pourtant novateur et original pour ce type de commune et préservait la maison. |
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Le micro musée et Grussenheim Pour conjurer la déception, l’association Les amis d’Annette de Rathsamhausen ont persisté et recueilli de la documentation et des ouvrages sur l’histoire du village et de la vie d’Annette. Lors d’une visite à Schwobsheim, les membres de l’association découvrirent une maisonnette à l’abandon, ancien fournil. Elle sera leur futur local. C’est alors que débute, en mai 2016, l’aventure du démontage et remontage des pans de bois datant du 18e siècle, qui abriteront le micro musée, par une quinzaine de membres actifs dont cinq âgés de 5 à 17 ans, tous les samedis après-midi, avec le soutien de Marc Grodwohl, dans le jardin du presbytère de Grussenheim. Le micro musée est inauguré en 2018, en présence de l’académicien Jean-Robert Pitte, qui préface également la monographie d’Annette de Rathsamhausen, baronne de Gérando, publiée par l’association dans le même temps. Cet ouvrage, richement illustré, lui rend hommage et donne au lecteur un aperçu de sa vie à la cour de Napoléon Bonaparte, ainsi que de son talent littéraire. |
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On peut y découvrir des collections patrimoniales liées à l’histoire de Grussenheim depuis la Préhistoire. Des poteries et fragments de poteries témoignent de la présence de potiers dans le village qui, vers 1850, fêtera tous les 1er mai le Hafalamarik (marché aux pots). Une étude de Marc Grodwohl décrit un mur de jardin du village : « le mur comporte des pierres de grès roses, des silex, des lits de tuiles, des galets et quelques pierres volcaniques du Kaiserstuhl, hourdées avec un mortier de chaux très caillouteux… À une hauteur constante de 100 cm à 110 cm depuis le sol, des poteries et fragments de poteries sont encastrées dans le mur, côté jardin. » D’autres éléments du micro musée conservent le souvenir des violences vécues par la commune occupée par les Allemands durant la seconde guerre mondiale, et les durs combats jusqu’à sa libération en 1945. Au centre du musée, une maquette de la Synagogue, incendiée par les Allemands en 1940, honore les habitants de confession juive, qui représentaient le quart des villageois avant la dernière guerre. Une anecdote : naissance en 1750 à Grussenheim de Monsieur Isaac Wormser, arrière-arrière-arrière-grand-
Le micro musée sera ouvert les 1er, 2 et 3 décembre 2023 à l’occasion de la Sainte Lucie et du marché de Noël de Grussenheim, dans le jardin du presbytère.
Mais qui était Annette de Rathsamhausen, baronne de Gérando ? L’épistolière Marie Anne de Rathsamhausen, baronne de Gérando, est née à Grussenheim en 1771 et morte en 1824 à Thiais. Son père, Léopold Eberhard de Rathsamhausen, dernier seigneur de Grussenheim, désargenté, s’était établi dans le village en 1767. Un baron qui n’était pas très riche, puisque le prévôt du village, Jean Georges Strauel, avait quatre fois plus de biens que lui, tout comme le meunier Mathias Dietsch. À la mort de sa mère, puis de son père en 1795, Marie Anne, dite Annette, a été recueillie par la famille de Berckheim à Schoppenwihr et par le poète aveugle Théophile Conrad Pfeffel. C’est grâce à ce dernier qu’elle rencontre Joseph Marie de Gérando qui deviendra son époux et qu’elle suivra à Paris, où il sera secrétaire général du ministère de l’Intérieur en 1804. C’est dans la petite société littéraire de Pfeffel qu’Annette, surnommée « Immortelle » par ses amis, y rencontrera notamment Germaine de Staël, Juliette Récamier et Benjamin Constant. Les unes et les autres laissèrent des lettres, mémoires et journaux intimes d’une valeur littéraire incontestable. Le talent d’Annette y était reconnu puisque Madame de Staël écrivait : « Je ne connais que deux femmes en France qui écrivent d’une manière supérieure, ma cousine de Germanie et Madame de Gérando ». De confession catholique, Annette pratiquait la tolérance religieuse et s’indigna des proportions effrayantes prises par le paupérisme à Strasbourg en 1798 : « Les riches sont si durs, si blasés… ». Elle fut un bel exemple de « double culture » et de la volonté justifiée d’émancipation féminine et spirituelle, comme l’écrit Georges Livet en 1988. Sa correspondance, présentée sous la forme de morceaux choisis, a été éditée à la fin du 19e siècle par son fils Gustave. La monographie éditée par l’association Les amis d’Annette de Rathsamhausen, Baronne de Gérando, débute ainsi : « Annette est d’un naturel tendre, pas une beauté, mais une nature toute féminine, d’une fine sensibilité, un esprit vif et pieux, naturellement douée, réceptive pour tout ce qui est noble et beau, mûrie par l’école de la vie, une âme pure comme peu de ses pairs, aimée de tous ceux qui la connaissent » (Pfannenschmid, p. 369).
Pour finir, quelques images de notre traversée de Grussenheim Nous avons découvert les portes piétonnes à pied droit sculpté que l’on retrouve à plusieurs reprises dans le village, que ce soit à l’entrée des fermes ou en porte piétonne dans le cimetière de l’Église paroissiale de l’Exaltation-de-la-Sainte- |
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Amand Strauel, fondateur et ancien président de l’association Les amis d’Annette de Rathsamhausen, baronne de Gérando, et du Vieux Grussenheim, nous a présenté sa maison qu’il a rénovée lui-même, rue de la Paix. © SD |
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La maison voisine est celle de Monsieur Jean-Philippe Strauel qui nous a ouvert la porte de sa cour. La maison date de 1829 et est munie d’un corps en saillie contenant les latrines au niveau du pignon sud. La cour intérieure est en galets. © SD |
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La ferme, 21-23 Grand Rue, possède une coursière en encorbellement du gouttereau sur cour, une loggia en encorbellement sur pignon sud, une sablière moulurée. Elle date du 17e ou du 18e siècle. En photo, également une partie des dépendances arrières avec escalier maçonné en pierres de grès. © SD |
's Blättele octobre-novembre 2023 - Contributeurs
ContributeursSophie Dressler, Denis Elbel et Maryline Simler. Directeur de publication : Jean-Marc Biry. |
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Bonjour , dans la commune de 67470 Eberbach-Seltz , où j’habite , le conseil municipale a approuvé le projet d’acquisition d’un bien bâti , d’une superficie d’environ 50 ares , en vue de réaliser un projet de création de logements aidés . Sur cette propriété , il y a une belle petite maison à colombage dont l’avenir est à mon avis plutôt incertain . Dans notre commune les maisons à colombage disparaissent à la vitesse grand V , sans que personne ( ou très peu de gens ) ne s’en inquiètent . Que peut on faire , avant qu’il ne soit trop tard , pour éviter une démolition au profit d’un démontage pour la reconstruire ailleurs . Je restaure personnellement ( à la vitesse de mon budget ) une maison à colombages qui elle , ne sera pas démolie . Que peut on entreprendre pour sensibiliser mr. le maire et son conseil pour préserver le patrimoine ? J’ai aussi relu l’article de Stéphane BERN qui était paru dans les DNA le 28 août 2022 avec comme titre » Je me démène contre les maires qui veulent détruire les maisons à colombage » Pour l’instant rien n’est à mon avis , décidé , mais il vaut mieux
» prévenir que guérir » Je vais me renseigner et j’attends la suite avec impatience .
En réponse à FICHT.
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